Le paysage n’a guère changé. On distingue très bien le mur d’enceinte de l’hôpital avec le chemin qui le longe, le bâtiment des Aralias et à droite, le chemin communal qui remonte vers l’église en débouchant rue des Aralias. Cliché antérieur à 1914.
Là encore, permanence du paysage : l’église, le presbytère et toutes les habitations encore visibles actuellement. Le cheval attelé à la charrette, le fumier ou le terreau (?) le long du mur attestent qu’on est dans une cour de ferme, en plein coeur du village. Cliché antérieur à 1914.
La principale zone urbanisée. Au premier plan, ce qui est deviendra la place du Jeu de Boules, bordée à l’Est par la Société de Plaisance, créée en 1852 et sise toujours à cet endroit. Plus loin, dans le même axe, la Mairie a droite la boulangerie–pâtisserie (l’actuel hôtel de la Loire), l’école privée - blanche, avec un toit plat - et tout en haut à droite, le patronage, à l’emplacement de l’actuelle salle des Fêtes. L’urbanisme est très peu dense, éclaté, juxtaposant petites fermes et maisons bourgeoises. Les jardins occupent une superficie importante. C’est cette partie du bourg qui a subi le plus de transformations au XXème. Cliché d’entre les deux guerres.
Trois éléments caractéristiques de la commune. Sur ce cliché. En bas à droite, le vieux bourg autour de l’église avec La Chéneraie à l’extrémité Est. Au centre l’emprise foncière importante (32 hect.) de l’établissement hospitalier psychiatrique qui bride le développement du bourg vers l’ouest. Les murs d’enceinte sont bien visibles. La partie supérieure du cliché montre un paysage rural très morcelé, témoin d’une structure sociale et économique reflétant la petite propriété liée à la polyculture maraîchère. Quelques taches boisées révèlent la présence de parcs entourant de belles demeures. La commune, dont la population ne dépasse guère 1200 habitants à la fin des années trente, vit alors avant tout de l’agriculture.
Actualités
Serre en mouvement : Elle crée une nouvelle exploitation bio
Lettre d'information
Je m'abonne